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Décryptage : le rôle des forêts dans le cycle du carbone

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Une méthode sylvicole en faveur de la régénération des forêts méditerranéennes et de leur adaptation au changement climatique  

**Avec près de 11 000 collaborateurs et 35 usines verrières réparties dans 12 pays, Verallia est le leader européen et le troisième producteur mondial de l’emballage en verre pour les boissons et les produits alimentaires. Le groupe s’est donné pour mission de redéfinir Ia façon dont le verre est produit, réutilisé et recyclé, pour en faire le matériau d’emballage le plus durable au monde. La raison d’être de Verallia [« Réimaginer le verre pour construire un avenir durable »](https://www.verallia.com/rse/) guide la stratégie RSE* du Groupe basée sur 3 piliers : renforcer la circularité des emballages en verre, décarboner les activités, et garantir un environnement de travail sûr et inclusif. Dans ce sens, Verallia met en place des actions variées et complémentaires en faveur de l’environnement, telles que l’approvisionnement responsable en matières premières, la réduction des émissions de CO2 et une contribution à la régénération des sols au travers de la forêt.**

**En parallèle de l’amélioration des performances environnementales de ses propres activités industrielles, le groupe s’est donc engagé sans attendre dans une démarche active de contribution à la restauration des écosystèmes forestiers. Dans cette optique, Verallia fait confiance à Reforest’Action pour mener des projets au plus proche de ses sites de production verrière, en Europe et au Brésil, depuis plus de trois ans déjà.** 

_*RSE = Responsabilité Sociétale des Entreprises_

## Des objectifs ambitieux pour l’environnement : décarbonation, approvisionnement responsable et régénération des sols

### Au cœur du cycle de production

Établie fin 2018, la stratégie RSE de Verallia place l’économie circulaire du verre au cœur de sa démarche. Bien qu’infiniment recyclable, le matériau verre nécessite d’être fondu pour être transformé en nouvelles bouteilles ou pots et la fusion du verre demeure aujourd’hui encore la principale source d’émissions de CO2 issues des activités de l’entreprise. Afin de réduire drastiquement son impact sur le climat, Verallia s'est engagé à suivre une feuille de route de décarbonation ambitieuse, conforme à la trajectoire nécessaire pour atteindre l’objectif de +1,5°C fixé par l’Accord de Paris et validée par la Science Based Targets initiative (SBTi). Pour cela, le Groupe s’est donné pour ambition la réduction de 46% de ses émissions de CO2 (scopes 1 et 2) d’ici 2030, par rapport à 2019.

Au-delà de ses objectifs de décarbonation, l’entreprise œuvre à une consommation responsable des ressources, telles que le calcaire et l’eau, sans lesquelles la production verrière serait impossible. En 2023, plus de 54% de verre recyclé a été intégré aux productions, réduisant d’autant l’utilisation de matières premières vierges. Le Groupe participe également à la généralisation du recyclage et au développement du réemploi du verre.

### Hors du cycle de production

Le respect des écosystèmes est essentiel pour Verallia : ils sont à la base de toutes ressources naturelles et garantissent la pérennité de la fabrication verrière. C’est pourquoi, en parallèle des actions menées dans son cycle de production, Verallia contribue à la régénération des sols et à la restauration des écosystèmes forestiers en dehors de sa chaîne de valeur. Dans la lignée de cet engagement, l’entreprise accompagne le financement de projets de reforestation et d’agroforesterie, prioritairement dans les pays où sont implantées ses usines, menés sur le terrain par Reforest’Action et ses partenaires.

## Aux côtés de Reforest’Action depuis 2021 pour restaurer des forêts dégradées en Europe

Dans le cadre de sa stratégie RSE, Verallia s’est engagé à financer la plantation de 100 000 arbres par an, de 2019 à 2025. Depuis 2021, le Groupe soutient des projets forestiers aux côtés de Reforest’Action, au plus proche de ses usines verrières. En trois ans, ce sont ainsi plus de 313 000 arbres qui ont été financés pour mener des projets de typologies variées (boisement, reboisement, régénération naturelle assistée, agroforesterie) dans huit pays, dont sept pays européens accueillant les sites de production de Verallia. 

Favoriser la régénération des forêts, premiers puits de carbone terrestre, est un excellent moyen de contribuer efficacement à la neutralité carbone globale. À cela s’ajoutent les co-bénéfices des projets soutenus par Verallia pour la biodiversité et les communautés locales. En effet, guidée par Reforest’Action, l’entreprise met un point d’honneur à financer le développement de projets à l’impact positif et durable à l‘échelle du territoire et à assurer la sensibilisation des parties prenantes locales, dont les collaborateurs sont au premier rang.  

### Tour des projets* financés par Verallia, zoom sur l’Europe

Agir pour les forêts européennes est devenu primordial. Pour la plupart façonnées par l’intervention de l’homme, elles sont à 75%** équiennes, c’est-à-dire constituées d’arbres du même âge. En outre, un tiers** d’entre elles sont monospécifiques, soit composées d’une seule et même essence. Ce manque de diversité s’accompagne d’une diminution de la résilience des peuplements et de leur capacité à fournir des services écosystémiques : 60%** de la biomasse des forêts européennes est exposée à des risques tels que les incendies, les invasions de ravageurs ou les vents violents. Enfin, la sylviculture industrielle va de pair avec la perte de biodiversité forestière. 

Les différentes typologies de projets financés par Verallia en Europe contribuent à lutter efficacement contre le phénomène de dégradation forestière, à développer la multifonctionnalité des forêts tempérées et à renforcer leur résilience face au changement climatique. 

_*Il s’agit d’une sélection et non d’une liste exhaustive._
_**European Commission, Green Deal, Directorate-General for Environment, July, 2023_

![Infographie stratégie contribution Verallia.jpg](https://backoffice.reforestaction.com/uploads/Infographie_strategie_contribution_Verallia_fe4baa5e46.jpg)

#### Guérir et prévenir les feux de forêts

**La hausse des températures dans la péninsule Ibérique est associée à la multiplication de feux de forêt dévastateurs. En Espagne comme au Portugal, des programmes de reboisement sont nécessaires pour restaurer les fonctions environnementales, économiques, sociales et paysagères des forêts.** 
Dans la région de Palencia en Espagne, près du parc naturel Montaña Palentina, Verallia soutient la reconstitution d’un peuplement forestier touché par les nombreux feux de forêts de ces dernières années. L’objectif est de recréer un écosystème naturel diversifié grâce à la plantation d’un mélange de douze essences sur une surface dégradée de 27 hectares. En Algarve, au Portugal, près de 100 000 hectares ont brûlé lors d’une vague d’incendies en 2018. Dans la zone de Monchique, Verallia finance le reboisement de 32 hectares de forêts calcinées. 
Dans les deux cas, les espèces choisies, telles que le chêne vert, le hêtre ou encore le pin parasol, sont adaptées aux conditions pédoclimatiques* de la zone dégradée. Cette diversité d’essences permettra de restaurer les sols et de renforcer la résilience des peuplements face à de nouveaux aléas climatiques. 

_*Le pédoclimat correspond au climat du sol et intègre l'ensemble des conditions de température, d'humidité et d'aération_

![Espagne Palencia 2022.jpg](https://backoffice.reforestaction.com/uploads/Espagne_Palencia_2022_7145d430bf.jpg)
Photo issue du projet financé par Verallia et mené par Reforest'Action dans la région de Palencia en Espagne, près du parc naturel Montaña Palentina. 

#### Favoriser la régénération naturelle des forêts

**La Régénération Naturelle Assistée (RNA) est une méthode de gestion sylvicole douce visant à préserver et à développer les puits de carbone et de biodiversité que sont les forêts. La RNA respecte le cycle naturel de la forêt et consiste à intervenir au sein de forêts présentant des signes de régénération, toutefois insuffisants pour garantir à eux seuls la pérennité de l’écosystème.**
Dans le département français de l'Aude, dans les Pyrénées-Orientales, Verallia finance le développement d’un projet de RNA au sein d’un site naturel intégré au réseau Natura 2000. La parcelle de dix hectares possède une grande valeur environnementale en raison de la présence de plusieurs tourbières. Les actions mises en œuvre visent à diversifier un taillis* de hêtres dans l’objectif de créer une futaie mélangée**. 
Plus au nord, dans le comté du Hampshire en Angleterre, Reforest’Action intervient au sein du Stansted Park, un domaine remarquable recouvert par plus de 500 hectares de forêts anciennes et très fréquenté par le public. Soutenu par Verallia, le projet permettra d’améliorer la qualité des peuplements, majoritairement constitués de frênes et de châtaigniers aujourd’hui vulnérables aux attaques d’insectes ravageurs. 
À chaque fois, il s’agit de renforcer la multifonctionnalité de l’écosystème grâce à la diversification des essences représentées et ainsi de favoriser l’apparition de plusieurs strates de végétation. Les arbres malades sont prélevés petit à petit pour éviter de bouleverser le milieu, le bois mort est conservé afin d’abriter la biodiversité, et les trouées sont enrichies grâce à la plantation d’espèces natives. En accompagnant la régénération des forêts, sans jamais réaliser de coupe rase, la biodiversité est préservée et renforcée tout au long du processus. 

_*Arbres de petit diamètre coupés régulièrement_ 
_**Forêt composée de grands arbres adultes d’essences et d’âges différents_

![France Counozoul 2021.jpg](https://backoffice.reforestaction.com/uploads/France_Counozoul_2021_69d6032fcd.jpg)
Photo issue du projet de régénération naturelle (RNA) financé par Verallia et mené par Reforest'Action dans le département français de l'Aude, Pyrénées-Orientales.

#### Lutter contre le fléau de la monoculture

**Après la Seconde Guerre mondiale, la demande en bois de construction a explosé et les propriétaires forestiers européens se sont orientés massivement vers des essences à croissance rapide, telles que l’épicéa ou le pin, ignorant encore les effets néfastes de la monoculture.** 
En Allemagne, près d’Hemer en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le parc naturel de Sauerland Rothaargebirge a été progressivement remplacé par une monoculture d’épicéas. Cette forêt artificielle a été touchée par un insecte ravageur de la famille des scolytes, causant la mort des arbres sur pied. Grâce au soutien financier de Verallia, la plantation d’un mix d’essences composé de feuillus et de résineux permettra de remplacer le peuplement monospécifique par une forêt diversifiée et multifonctionnelle, qui fournira à terme un éventail de services pour la biodiversité et les habitants de la région. 
De la même façon, le projet mené par Reforest’Action au nord de la Pologne permettra d’initier la diversification des monocultures de pins entourant la ville de Grudziądz. Ces espaces, majoritairement exploités à des fins de loisirs et de conservation, seront enrichis par la plantation de différentes espèces de feuillus capables de croître sous la canopée des pins. Le développement du projet vise ainsi à renforcer la structure de la forêt existante et à développer des micro-habitats pour l’accueil de la biodiversité. 

![Pologne Grudziądz 2023.jpg](https://backoffice.reforestaction.com/uploads/Pologne_Grudziadz_2023_dcc9e61de5.jpg)
Photo issue du projet financé par Verallia et mené par Reforest’Action au nord de la Pologne permettra, aux alentours de la ville de Grudziądz. 

Outre les nombreux impacts positifs évoqués plus haut, chacun des projets financés par Verallia contribue efficacement à la lutte contre le changement climatique grâce au carbone stocké par les arbres plantés ou préservés. 

**Chez Reforest’Action, nous sommes convaincus que toute entreprise doit désormais actionner simultanément un plan de transition et un plan de contribution, afin d’avoir un impact dans sa chaîne de valeur, et en dehors. Nous accompagnons les entreprises dans leur plan de contribution en leur proposant des projets de restauration d’écosystèmes forestiers et agroforestiers, mais aussi des projets certifiés et des projets d’agriculture régénératrice.**

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Verallia, engagé dans la décarbonation de son industrie, contribue en parallèle à la restauration des forêts proches de ses sites de production 

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Présent à Bordeaux depuis 1875, Gaz de Bordeaux est aujourd’hui fournisseur d’énergie partout en France. 100% des équipes (service client y compris) sont installées en France. L’entreprise compte aujourd’hui 270 000 clients nationaux. Sa croissance inédite sur le marché de l’énergie témoigne de son dynamisme. Un succès qu’elle doit à sa taille humaine et à son agilité, ainsi qu’à sa culture historique de la qualité de service. 

GAZ DE BORDEAUX

Restaurer les écosystèmes terrestres à grande échelle en recréant les meilleures conditions pour leur permettre d’être stable dans la durée dans un contexte climatique et sociétal en pleine transformation.

En savoir plus sur la mission de Reforest'Action

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Érable sycomore

Douglas

Situées sur une ZNIEFF dans la vallée de la Corrèze et de la Vimbelle, les parcelles à reboiser étaient initialement plantées en résineux. L'ancien propriétaire a effectué une coupe rase, aujourd'hui il ne reste que quelques régénérations naturels feuillus non entretenus depuis des années. Le nouveau propriétaire souhaite mener cette forêt vers une futaie irrégulière durablement gérée. Pour se faire, un mélange de feuillus et de résineux (érables sycomores et douglas) sera implanté sur le terrain délaissé. Ce sont donc 2 hectares de terrain qui vont devenir productif en termes de bois. Ce projet de reboisement permettra également la stabilisation du sol et la lutte contre l'érosion et perte de l'humus. La croissance de cette nouvelle forêt durablement gérée permettra de capter du dioxyde de carbone atmosphérique, luttant ainsi contre le réchauffement climatique. La diversité des essences permettra un meilleur accueil de la biodiversité.

Contribution à l'atténuation de l'effet de serre et influence sur les régimes de précipitations et le microclimat local.

Préservation de la biodiversité locale en fournissant des habitats et des ressources adaptées.

Influence sur la qualité et l'intégrité du système sol-eau, et sur le cycle de l'eau et des nutriments.

Soutien du bien-être humain, en fournissant des ressources, des revenus, de l'éducation, et en soutenant les loisirs et le patrimoine.

Situées sur une ZNIEFF dans la vallée de la Corrèze et de la Vimbelle, les parcelles à reboiser étaient initialement plantées en résineux. L'ancien propriétaire a effectué une coupe rase, aujourd'hui il ne reste que quelques régénérations naturelles de feuillus non entretenus depuis des années. Le nouveau propriétaire souhaite mener cette forêt vers une futaie irrégulière durablement gérée. Pour ce faire, un mélange de feuillus et de résineux (érables sycomores et douglas) sera implanté sur le terrain délaissé. Ce sont donc 2 hectares de terrain qui vont devenir productif en termes de bois. Ce projet de reboisement permettra également la stabilisation du sol et la lutte contre l'érosion et perte de l'humus. La croissance de cette nouvelle forêt durablement gérée permettra de capter du dioxyde de carbone atmosphérique, luttant ainsi contre le réchauffement climatique. La diversité des essences permettra un meilleur accueil de la biodiversité.

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Hêtre commun

Sapin pectiné

Situées sur une zone montagnarde du parc naturel régional de Millevaches dans le Limousin, les parcelles à reboiser ne présentent pas de signes de régénération. Le peuplement initial de cette forêt était jusque-là monospécifique, c'est-à-dire exclusivement composé d'une seule variété d'arbres, ici, l'épicéa. Un mode gestion risqué pour plusieurs raisons : appauvrissement des sols, baisse de la biodiversité et risque accru d’attaque biologique et aléas climatique. Dans le contexte de dérèglement climatique, il est nécessaire de changer ce modèle de gestion. Dans l'objectif d'irrégularisation de la structure de cette forêt, les arbres seront implantés au sein de trouées, afin d'éviter toute coupe rase. Ce projet d'enrichissement va donc permettre la diversification du massif. Ensuite, l'implantation d'essences adaptées la durabilité de l'habitat forestier. Les arbres stockeront également le carbone atmosphérique, contribuant à la lutte contre le changement climatique.

Situées sur une zone montagnarde du parc naturel régional de Millevaches dans le Limousin, les parcelles à reboiser ne présentent pas de signes de régénération. Le peuplement initial de cette forêt était jusque-là monospécifique, c'est-à-dire exclusivement composé d'une seule variété d'arbres, ici, l'épicéa. Un mode de gestion risqué pour plusieurs raisons : appauvrissement des sols, baisse de la biodiversité et risque accru d’attaques biologiques et aléas climatiques. Dans le contexte de dérèglement climatique, il est nécessaire de changer ce modèle de gestion. Dans l'objectif d'irrégularisation de la structure de cette forêt, les arbres seront implantés au sein de trouées, afin d'éviter toute coupe rase. Ce projet d'enrichissement va donc permettre la diversification du massif. Ensuite, l'implantation d'essences adaptées permettra la durabilité de l'habitat forestier. Les arbres stockeront également le carbone atmosphérique, contribuant à la lutte contre le changement climatique.

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Photo de la régénération naturelle présente sur la parcelle avant travaux de RNA

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Photo d'un plant en régénération naturelle accompagné

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Photo de la parcelle avant travaux de RNA

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Chêne sessile (rouvre)

Cormier

Alisier torminal

Merisier

Ce massif du bois d’Abbe, situé en Meurthe-et-Moselle, est principalement composé de chênes. Malheureusement, ce peuplement vieillissant a aujourd’hui besoin d’être renouvelé. Aujourd’hui, 22 500 arbres sont accompagnés par différents travaux sylvicoles, évitant ainsi la récolte du peuplement. Cette méthode, perturbera moins l’écosystème, tout en assurant l’implantation d’essences adaptées aux conditions de la station. Pour ce projet, des cloisonnements seront créés, afin de faciliter les déplacements et les travaux. Des débroussaillages seront effectués afin d’enlever les plantes envahissantes qui pourraient gêner le développement des plants. Cette démarche permettra de diversifier le massif, favorisant ainsi la biodiversité. Par ailleurs, les arbres stockeront du carbone, participant ainsi à la lutte contre le changement climatique.

GOOD_HEALTH_AND_WELL_BEING

CLEAN_WATER_AND_SANITATION

DECENT_WORK_AND_ECONOMIC_GROWTH

CLIMATE_ACTION

LIFE_ON_LAND

PARTNERSHIP_FOR_THE_GOALS

Ce massif du bois d’Abbe, situé en Meurthe-et-Moselle, est principalement composé de chênes. Malheureusement, ce peuplement vieillissant a aujourd’hui besoin d’être renouvelé. Aujourd’hui, 22 500 arbres sont accompagnés par différents travaux sylvicoles, évitant ainsi la récolte du peuplement. Cette méthode perturbera moins l’écosystème, tout en assurant l’implantation d’essences adaptées aux conditions de la station. Pour ce projet, des cloisonnements seront créés, afin de faciliter les déplacements et les travaux. Des débroussaillages seront effectués afin d’enlever les plantes envahissantes qui pourraient gêner le développement des plants. Cette démarche permettra de diversifier le massif, favorisant ainsi la biodiversité. Par ailleurs, les arbres stockeront du carbone, participant ainsi à la lutte contre le changement climatique.

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Photo d'une parcelle du projet, après plantation de la haie

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Photo d'une parcelle du projet, après plantation de la haie et des ruches voisines

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Chêne pédonculé

Églantier

Cornouiller mâle

Charme commun

Viorne Lantane

Nerprun purgatif

Groseillier à grappes

Saule à oreilles

Alisier blanc

Saule des vanniers

Sureau noir

Tilleul à petites feuilles

Orme champêtre

Viorne obier

Fusain d'Europe

Cognassier

Érable champêtre

Saule Blanc

Aubépine petites feuilles

Cornouiller sanguin

Noisetier commun

Châtaignier

Aulne glutineux

Cassissier

Aubépine à deux styles

Bourdaine

Noyer commun

Troene commun

Néflier

Houx commun

Prunier

Prunellier

Poirier commun

Saule cendré

Le parc naturel régional de l'Avesnois travaille depuis plusieurs années à l'amélioration des corridors écologiques sur son territoire du département Nord (Hauts-de-France). Dans le cadre du projet, des haies bocagères sont introduites sur une pluralité de parcelles, dont certaines dédiées à l’agriculture. Près de 10 000 mètres linéaires constitués d’essences diversifiées sont plantées, parmi lesquelles l’aubépine, le charme, le cornouiller sanguin, l’érable champêtre, le noisetier, l’orme champêtre, le tilleul, le troène et la viorne. Le rôle des haies est central puisqu’il permettra selon les projets de protéger les cultures, de limiter la dégradation des sols, et d’améliorer les trames vertes, refuges pour la biodiversité locale. Enfin, les arbres stockeront du carbone, participant ainsi à la lutte contre le dérèglement climatique.

Le parc naturel régional de l'Avesnois travaille depuis plusieurs années à l'amélioration des corridors écologiques sur son territoire du département Nord (Hauts-de-France). Dans le cadre du projet, des haies bocagères sont introduites sur une pluralité de parcelles, dont certaines dédiées à l’agriculture. Près de 10 000 mètres linéaires constitués d’essences diversifiées sont plantées, parmi lesquelles l’aubépine, le charme, le cornouiller sanguin, l’érable champêtre, le noisetier, l’orme champêtre, le tilleul, le troène et la viorne. Le rôle des haies est central puisqu’il permettra selon les projets de protéger les cultures, de limiter la dégradation des sols et d’améliorer les trames vertes, refuges pour la biodiversité locale. Enfin, les arbres stockeront du carbone, participant ainsi à la lutte contre le dérèglement climatique.

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Mélèze

Bouleau

À Sornac en Nouvelle-Aquitaine, ce projet se situe au cœur du parc naturel de Millevaches, sur un plateau à plus de 750m d'altitude. Les parcelles concernées ont été abattues par les précédents propriétaires avant d’être récupérées par le nouveau propriétaire en sol nu, plus ou moins enfrichées. Après des travaux de nettoyage, les parcelles accueillent une démarche de restauration des écosystèmes. Des essences comme le douglas, le mélèze et le bouleau sont introduites par îlots pour maintenir une diversité d’espèces sur la zone. Le projet permettra de maintenir un couvert forestier continu, et participera à la reconstitution et la préservation des sols. Les arbres plantés participeront à la formation d’un patrimoine forestier. À terme, le peuplement participera à la lutte contre le réchauffement climatique grâce au stockage de carbone.

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Dans le département de la Gironde, au cœur du parc naturel régional des Landes de Gascogne, ces 5 parcelles forestières s’étendent sur une surface totale de 22 hectares. Composées de pins maritimes, ces monocultures ont été fortement affectées par les ouragans Martin en 1999 et Klaus en 2009, ce qui a poussé l’ancien propriétaire à réaliser des coupes sanitaires. Le projet prévoit de diversifier le massif en implantant divers feuillus aux côtés des pins maritimes. Cette démarche permettra de lutter contre les invasions de chenilles processionnaires, fréquentes dans les environs, mais aussi de protéger la forêt face aux aléas climatiques. Tempêtes et incendies peuvent, en effet, avoir des conséquences désastreuses sur les massifs en particulier les monocultures. Plus résiliente, la forêt pourra stocker du carbone sur le long terme.

Bénéfices estimés des arbres plantés ou préservés

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